Le président Donald Trump a réduit de moitié (seulement pour l’instant) la contribution américaine à l’UNRWA. Cet organisme dépend de l’ONU et ne sert qu’aux seuls « réfugiés palestiniens ». Depuis la seconde guerre mondiale, plus de 100 millions de personnes ont bénéficié du statut de réfugiés politiques ou ont été déplacées. Les seuls qui continuent à profiter d’un tel statut sont les arabes qui se trouvaient en Israël quelques mois avant notre indépendance. Les pays arabes ont adopté une résolution leur interdisant de conférer une nationalité à cette populace.
En conséquence, le statut de réfugié est devenu une profession héréditaire pour tous les descendants des arabes attirés par la prospérité juive sur la Palestine mandataire. Les allocations des associations onusiennes et le soutien des démocraties occidentales leur sont donc acquises.
Les juifs expulsés des pays arabes ont été intégrés à l’État d’Israël naissant ou des pays où ils ont décidé de s’établir. Ils ne sont pas considérés comme des « réfugiés » alors que leur nombre dépasse celui des arabes ayant quitté l’État hébreu. Les Français expulsés de l’Afrique du Nord n’ont pas reçu ce statut privilégié. Les juifs spoliés de leurs droits, de leurs biens sans aucune compensation se sont acclimatés dans leur pays d’accueil.
L’UNWRA récolte des fonds par milliards d’euros au profit des arabes qui s’étaient déclarés partis de l’État juif sans avoir organisé le moindre contrôle sur la véracité de leurs déclarations. Après avoir désertifié le pays, cultivé de manière intensive le sable et apporté la malaria sur cette terre où coulait « le lait et le miel », des sommes astronomiques ont été versées pour ouvrir des écoles, des lieux de travail, des hôpitaux et des infrastructures étatiques. Les écoles ont servi de base de lancement de roquettes, les livres scolaires ont servi d’enseignement de la haine, les hôpitaux ont servi de refuge aux assassins arabes recherchés et l’argent versé a servi à construire des tunnels d’agression et aux finances des dirigeants arabes corrompus.
Pendant que les juifs construisaient leur état sur la terre libérée d’Israël, les arabes inventaient sur cette même terre le métier de « réfugiés palestiniens héréditaires ». Ils avaient également inventé le terrorisme et la notion de mendiants planétaires. Soumis au racket arabe, les états occidentaux ont versé des milliards depuis 70 ans à ces parasites et ont développé une politique hostile à l’État d’Israël. En particulier, l’Union européenne a édifié des constructions illégales afin de donner des bases d’implantation sauvages aux arabes en Judée et Samarie.
Le terroriste de Ramallah, Mahmoud Abbas, doit rencontrer les dirigeants de l’Union Européenne pour leur demander de compenser la diminution de subsides des États-Unis.
Pendant ce temps les émirats Arabes investissent dans la plus haute tour du monde, dans un « Louvre » pour les nomades, le rachat d’un tableau de Léonard de Vinci, l’achat de clubs de sport et d’une partie du patrimoine immobilier français. Ces investissements se montent à des dizaines et des dizaines de milliards d’euros.
Et pourtant pas d’investissement pour les « palestiniens » qui n’intéressent plus personne parmi les états frères. Les derniers à se préoccuper encore de ces parasites se trouvent en Europe. Curieusement il ne vient à l’idée de personne d’exiger de la part des pays du golfe de participer au financement des structures « palestiniennes » !
Combien de temps encore les pays du monde continueront à entretenir le mythe des « réfugiés palestiniens », à grever leur budget de ces montants astronomiques versés aux parasites du Moyen-Orient. Le dhimmi européen doit payer sa taxe ! Une partie importante des offrandes européennes sert à payer les salaires des terroristes arabes et de leurs familles. Au moment où les retraités français voient leurs mensualités diminuées, faudra-t-il constater que le montant payé aux terroristes du Hamas et du Fatah sur le budget français sera en augmentation ?
Une centaine de psychiatres et psychologues américains ont émis un avis négatif sur l’état de santé du président Trump rapidement contredit par un examen auquel le président américain s’est volontairement soumis. Il serait certainement intéressant que cette centaine de spécialistes d’un comportement dévoyé viennent étudier le comportement des dirigeants européens concernant l’islam et le Moyen-Orient. Certains pourraient être étonnés du résultat !
Jacques Kupfer